Les valeurs de la formation l’ont interpellé. CPQ souhaite établir une démocratie directe «pour et par le peuple québécois», peut-on lire sur leur site Internet.
«Je veux laisser à mes petits enfants un mode de vie. Le Québec, c’est une belle province avec des citoyens honnêtes et travaillants qui ne croient plus à la politique et à la justice. Avec CPQ, on aurait l’occasion de leur redonner la chance d’y croire.»
Agriculture
L’ancien agriculteur a été échaudé, par le passé, par le système et souhaite s’attaquer au modèle de l’Union des producteurs agricoles (UPA). D’un autre côté, il se dit un ardent défenseur de la gestion de l’offre.
«Si le système tombe, ce sera le chaos. Ce n’est pas vrai que ce sera moins cher pour les consommateurs. Ce seront les compagnies qui vont s’enrichir sur leur dos.»
Sécurité
Yves Roy estime que le rôle des corps policiers doit être repensé. Actuellement, a affirmé le candidat, il est trop axé sur la répression. Les agents de la paix devraient se concentrer sur la prévention et l’éducation. Selon lui, ce n’est pas à coup de contraventions que le problème de sécurité routière se règlera.
L’aspirant député invite les électeurs à lire le programme du parti avant qu’ils se rendent aux urnes. «Si tout le monde le connaissait, CPQ passerait cette année», croit-il.