L’organisme rappelle que les fraudeurs numériques prennent de plus en plus de place et font preuve d’imagination afin de soutirer de l’argent ou des informations à leur victime. L’ACEF invite les jeunes à se questionner: «quand c’est trop beau pour être vrai, est-ce que ça se peut que ce soit faux?»
Astuces
Une institution financière ne demande jamais d’informations sensibles par courriel, par texto ou par téléphone. Si elle appelle, elle est censée avoir toutes ces informations en main. En cas de doute, il est possible de le mentionner à la personne à l’autre bout du fil.
Il ne faut pas donner son numéro d’assurance sociale. Les seules personnes avec qui on peut le partager en toute confiance sont l’employeur, l’école ou le gouvernement.
La chaîne YouTube Mes finances persos s’adresse aux jeunes de 16 à 25 ans et les guidera dans l’univers des finances personnelles. Parmi les capsules produites, on en retrouve une sur la prévention de la fraude.
En parler
Si on est victime de fraude, l’ACEF Rive-Sud rappelle qu’il ne faut pas hésiter à en parler en le signalant aux bonnes personnes comme les institutions financières. Il faut le faire rapidement afin de limiter les dégâts que la fraude pourrait causer. Enfin, il faut partager l’information avec le Centre anti-fraude du Canada pour qu’il puisse l’ajouter à leur registre.
Ressources disponibles
- Centre anti-fraude du Canada
- Agence de la consommation en matière financière du Canada (ACFC)
- Autorité des marchés financiers (AMF)