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«On aurait préféré que ce soit rapidement réglé. On n’avait pas d’attente particulière parce qu’il y avait 50 % des probabilités que ce soit un refus. Cela étant dit, c’est une orientation préliminaire. Elle nous guide et nous informe dans notre démarche. Certains facteurs méritent d’être pris en considération. Dans l’orientation on refuse, mais les éléments qui sont soumis par la commission nous permettent de continuer le travail», a expliqué, d’entrée de jeu, le maire de Saint-Antoine-de-Tilly, Richard Bellemare.
La Municipalité consacrera les prochains jours à bonifier son argumentaire et aussi à répondre aux interrogations exprimées par la CPTAQ dans son rapport. Cette dernière a identifié un site qui se trouve au sud du puits identifié par la Municipalité.
«La CPTAQ a soulevé certains enjeux où elle avait encore des questions en suspens et elle aimerait avoir des réponses pour être plus éclairée dans la décision finale qu’elle rendra. Les commissaires veulent être certains d’avoir pris la bonne décision», a rajouté le directeur général de la Municipalité, Raphaël Rioux.
Saint-Antoine-de-Tilly a 30 jours pour déposer une demande d’être entendu par la CPTAQ.