Selon ce que rapporte l’Administration gouvernementale ainsi que la présidente du Conseil du trésor, Sonia LeBel, cette proposition s’étirerait sur une durée de cinq ans et tiendrait en compte «de l'amélioration des conditions de travail des employés de l'État et de l'organisation du travail par le biais d'une plus grande souplesse dans les conventions collectives».
Soulignons qu’aucun détail concernant cette proposition n’a été dévoilé puisque les instances et membres du Front commun devront prendre connaissance de cette dernière «afin de déterminer si oui ou non elles constituent une entente de principe global».
Rappelons que le Front commun regroupe 420 000 personnes salariées de l’État affiliées à la Centrale des syndicats nationaux, la Centrale des syndicats du Québec, la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec ainsi que l’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux.