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Il n’y a aucun intérêt à critiquer les grandes orientations ni les mesures spécifiques mises de l’avant lors du dévoilement, il y a quelques jours, de la Stratégie nationale de prévention en santé 2025-2035. Elle a d’ailleurs été plutôt bien reçue par un ensemble d’acteurs importants de notre société. Cela dit, va-t-elle assez loin? Identifie-t-elle toutes les opportunités permettant de concrétiser l’idée de la prévention en santé? Du côté des chiropraticiens, nous misons sur les prochaines étapes, préannoncées dans la Politique elle-même.

Qu’avez-vous à gagner à cacher les salaires, les études, les statistiques ou les documents publics qu’on vous demande? Et surtout, pourquoi jouer à la victime lorsque ces informations deviennent publiques et qu’elles provoquent un certain malaise chez les citoyens, les élus de l’opposition ou les médias? Ne confirmez-vous pas, par votre réaction, que vous préférez que ces informations demeurent confidentielles, même si elles sont publiques par définition? Ce sont des questions que je me pose régulièrement en voyant certaines municipalités et MRC agir encore de nos jours.

Sous le premier ministre Robert Bourassa, le Domaine Joly de Lotbinière fut acquis par le gouvernement du Québec peu de temps avant qu’Ottawa ne mette la patte dessus pour en faire un « Lieu historique national », c’est-à-dire une plate-forme de publicité fédérale.

Le projet éolien Lotbinière-Ndakina, porté par Innergex et ses partenaires, est actuellement à une étape décisive. Si la MRC de Lotbinière a adopté en février 2025 le Règlement 359-2024 encadrant l'implantation d'éoliennes industrielles, chaque municipalité doit maintenant décider si elle adopte ce règlement dans ses propres règlements d'urbanisme - et surtout, si elle choisit d'y ajouter des mesures plus sévères, ou même de le refuser.

Le monde municipal, jadis perçu comme un pilier fondamental de la démocratie et de la gestion locale, traverse actuellement une période de turbulence. Période de turbulence pour certains rétrogrades ou occasion en or pour les plus rigoureux. Je vous laisse choisir votre camp!

Les règles fiscales canadiennes sur la publicité défient la logique et le bon sens depuis bien trop longtemps. Il est temps que nos dirigeants corrigent cette injustice et assurent des conditions équitables pour les médias canadiens, afin qu’ils puissent concurrencer loyalement leurs rivaux étrangers plus grands.

Les éditeurs de presse multiculturelle, communautaire, locale et nationale et les associations professionnelles, représentant des centaines de titres de confiance se sont réunies pour demander au CRTC d’établir des règlements relatifs à la Loi sur les nouvelles en ligne qui garantiront la cohérence et l’équité, maximiseront l’investissement en salle de rédaction, amélioreront la transparence et minimiseront les représentations trompeuses.